Ce qu’ils ont dit au sujet du Coran (partie 1 de 2)

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Description: Déclarations d’érudits occidentaux qui ont étudié l’islam et qui se sont exprimés sur le Coran.  Partie 1.

  • par iiie.net
  • Publié le 19 Nov 2012
  • Dernière mise à jour le 19 Nov 2012
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What_They_Said_about_the_Quran_(part_1_of_2)_001.jpgL’humanité n’a été guidée par que l’intermédiaire de deux canaux de communication : les paroles de Dieu et l’envoi de prophètes choisis par Dieu pour transmettre Son message aux êtres humains.  Ces deux choses ont toujours été étroitement liées et toute tentative de comprendre Dieu en ignorant l’une des deux ne peut qu’induire en erreur.  Les hindous ont ignoré leurs prophètes et n’ont porté leur attention que sur leurs livres, qui leur sont apparus comme des casse-têtes qu’ils n’ont jamais pu comprendre correctement.  De même, les chrétiens ont négligé la Bible et se sont entièrement concentrés sur la personne de Jésus.  Non seulement l’ont-ils élevé au rang de divinité, mais ils ont perdu, dans le processus, la véritable connaissance du monothéisme contenu dans la Bible.

Les principales écritures révélées avant le Coran, i.e. l’Ancien Testament et l’Évangile, furent colligées sous forme de livre longtemps après le départ des prophètes.  Cela parce que les fidèles de Moïse et de Jésus firent peu d’efforts pour préserver ces révélations du vivant de leurs prophètes.  Par conséquent, ce que nous possédons, aujourd’hui, sous forme de Bible, est la traduction de comptes rendus des révélations originales faits par divers individus, traduction qui contient des ajouts et des omissions de toutes sortes.  À l’opposé, le dernier livre révélé, le Coran, demeure inaltéré jusqu’à ce jour.  Dieu Lui-même en a garanti la préservation et le Coran fut rédigé en entier du vivant du prophète Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) et ce, sur divers supports tels que feuilles de palmier, parchemins, os, etc.  Et cela, sans compter que des milliers de compagnons du Prophète avaient mémorisé le Coran en entier.  Le Prophète lui-même le récitait en entier, une fois l’an, devant l’ange Gabriel (et deux fois au cours de sa dernière année).  Le premier calife, Abou Bakr, fit relier le Coran en un seul livre par le scribe du Prophète, Zayd Ibn Thabit.  Ce volume demeura en possession d’Abou Bakr jusqu’à sa mort.  Puis, il fut confié au second calife, ‘Omar.  Enfin, à la mort de ce dernier, c’est Hafsa, l’une des épouses du Prophète, qui en prit possession.  C’est à partir de cette copie originale que le troisième calife, Outhman, fit rédiger plusieurs autres copies, qu’il envoya en différents territoires musulmans.

Si le Coran fut préservé de manière si méticuleuse, c’est qu’il s’agit du Livre destiné à guider l’humanité jusqu’à la fin des temps.  C’est pourquoi, malgré le fait qu’il fut révélé en arabe, il ne s’adresse pas qu’aux Arabes; il s’adresse plutôt à l’homme,  à l’être humain :

« Ô hommes!  Qu’est-ce qui vous a trompés au sujet de votre Seigneur, le Généreux? »

L’aspect pratique des enseignements du Coran a été démontré, au quotidien, par le Prophète et les musulmans pieux qui marquèrent l’histoire de l’islam.  Ce qui distingue le Coran, c’est que ses enseignements visent le bien-être général de l’homme et sont basées sur ce qui lui est possible de faire.  Dans toutes ses dimensions, la sagesse coranique est claire.  Le Coran ne condamne point la chair ni ne néglige l’âme.  Il n’humanise pas Dieu, pas plus qu’il ne déifie l’homme.  Dans le Coran, chaque chose est à sa place.

Ceux qui prétendent que Mohammed est l’auteur du Coran avancent une chose humainement impossible.  Car quelle personne du sixième siècle de notre ère aurait pu émettre des vérités scientifiques telles que celles contenues dans le Coran?  Comment Mohammed aurait-il pu décrire de manière aussi précise l’évolution du fœtus, dans l’utérus, avec des détails qui ne furent confirmés que par la science moderne?

Deuxièmement, est-il logique de croire que Mohammed, un illettré, se mette tout à coup, à l’âge de quarante ans, à écrire un livre dans une langue hautement littéraire qu’aucun poète arabe ne put jamais surpasser?  Enfin, est-il logique de croire que Mohammed, qui avait été connu, jusque-là, comme al-Amine (le digne de confiance) au sein de sa société (et dont l’honnêteté et l’intégrité est reconnue par nombre d’érudits non-musulmans), se soit mis à prétendre à la prophétie et qu’il ait été en mesure d’entraîner des milliers d’hommes intègres pour en faire la meilleure société sur terre de l’époque?

Toute personne en quête de vérité et dont la quête est profondément sincère ne peut que croire que le Coran est le Livre révélé de Dieu.

Sans être d’accord avec tout ce qu’ils ont dit, nous rapportons, ci-dessous, les propos d’érudits non-musulmans connus sur le Coran.  Nous en appelons à l’ouverture d’esprit de tous les intellectuels qui décideraient de lire et d’étudier le Coran.  Nous sommes certains qu’une étude sincère de ce Livre saura convaincre son lecteur de l’impossibilité qu’il ait été écrit par un être humain.

Goethe, cité dans le « Dictionnaire de l’islam » de T.P. Hugues, p.526 :

 « Aussi souvent que nous le lisons, au départ et à chaque fois, il (le Coran) nous repousse. Mais soudain il séduit, étonne et finit par forcer notre révérence. Son style, en harmonie avec son contenu et son objectif, est sévère, grandiose, terrible, à jamais sublime. Ainsi ce livre continuera d'exercer une forte influence sur les temps à venir. »

Maurice Bucaille dans « Le Coran et la science moderne », 1981, p.18 :

« Une analyse purement objective du Coran à la lumière des connaissances modernes nous amène à reconnaître l’harmonie existant entre les deux, ainsi qu’on l’a fait ressortir à maintes reprises.  On a du mal à s’imaginer qu’un homme du temps de Mohammed ait pu être l’auteur de telles affirmations, compte tenu du niveau intellectuel de l’époque.  De telles considérations répondent en partie de la place exceptionnelle qu’occupe la Révélation coranique et contraignent le scientifique impartial à admettre son incapacité à fournir une explication fondée uniquement sur la logique matérialiste. »

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